Mike Amiri : descente dans l’univers d’un créateur qui monte
A Los Angeles, tout le monde le connait, et son carnet d’adresses n’a rien à envier à celui de ses amis du tout-Hollywood. Un comble pour ce quadra californien fondateur d’Amiri, qui voulait une marque très « organique », en dehors du système, dont le chiffre d’affaires avoisinera cette année les 50 millions de dollars et dont l’univers de travail parle pour lui. Visite guidée par le maître des lieux himself, en exclusivité.
Son défouloir ( en ouverture )
Un terrain de basket personnel attenant à ses bureaux, où il fait régulièrement des pauses pour, dit-il, se relaxer et recharger ses batteries intellectuelles et créatives, et sur lequel il a déjà reçu Odell Beckham et d’autres joueurs amis de l’équipe des Lakers.
Un talent caché
La peinture, qu’il exerce dans un espace dédié de son studio, où il aime improviser et expérimenter de nouveaux procédés sur ses créations, au plus près de la matière.
Des grigris
Ses bijoux, tous signés Chrome Hearts depuis l’adolescence, et dont il aime la cool-attitudepremium très californienne, qu'il revendique.
Une addiction
La mode vintage, dont il chine et accumule les pièces rares depuis des années, sources d’inspiration et archives de la maison.
Un outil de travail
Sa machine à café Barista de Breville, qu’il avoue faire tourner tout au long de la journée. Sa seule addiction.
Son accessoire fétiche
Les Bandana Boots, best-sellers de sa marque, qu’il porte au quotidien et qu’il use jusqu’à la moelle.
Son carburant
Les sushis de chez Matsuhisa Berverly Hills, son pêché mignon et passage obligé en période d’activité intensive.
Son ordinateur
Un iPad avec Apple Pencil qui le suit partout, pour rapidement dessiner ses idées plutôt que de les écrire.
Le best-seller de son dressing
Un perfecto en python signé Amiri, qui n’est pas sans rappeler son amour du glam-rock de la west-coast américaine.
Son anti-stress
L’eau de parfum Thé Noir du londonien Le Labo, qu’il achète en contenance fiole de voyage pour pouvoir l’avoir toujours à portée de main, dans sa poche, sa voiture…
Sa pièce préférée de la saison
Un perfecto exceptionnel, dont le cuir a été travaillé, vieilli, peint, à la main pendant des mois, résumant à elle seule la passion du créateur pour la technique de travail des artisans locaux.