Chirurgie esthétique: le top 7 des interventions masculines
La chirurgie pénienne n’est plus tabou. Parole de spécialistes. Deux interventions permettent, l’une d’épaissir le pénis, l’autre d’allonger sa taille. Quelles que soient les disgrâces, sources obsessionnelles de complexes, dit “complexes du vestiaire”, elles n’ont aucune incidence sur l’érection. La correction est donc purement une question d’apparence. L’élargissement du pénis se fait par une autogreffe graisseuse qui augmente la circonférence du sexe de deux à quatre centimètres, selon la prise des greffons de graisse injectés. On peut répéter la procédure chirurgicale. L’allongement du pénis est pratiqué lors d’une intervention délicate qui consiste à libérer le pénis de ses attaches selon une technique d’incision spécifique effectuée à la base du sexe. Si le résultat n’est qu’esthétique, il faut s’obliger à une abstinence sexuelle pendant un mois.
On les dit douillets, fuyant les piqûres, ce qui expliquent pourquoi les hommes ont encore peu recours aux injections d’acide hyaluronique réticulé pour combler ridules et rides, sinon pour corriger des joues trop creuses et des sillons nasogéniens très prononcés. En revanche, ils sont convaincus (à 100 %) par les injections de toxine botulique pour leur effet immédiat sur les rides du front, du lion et de la patte d’oie. Cependant, les injections d’acide hyaluronique réticulé et non réticulé dans les lèvres font de plus en plus d’adeptes. Objectif des hommes (jeunes) : avoir une bouche “ à baisers”, douce (car bien hydratée), pleine et pulpeuse.
Cette intervention de plus en plus pratiquée est une des premières corrections chirurgicales demandées, tous âges confondus. Plus simple à effectuer qu’une rhinoplastie au féminin, l’acte ne doit pas se deviner. L’important est d’adoucir la forme du nez en gardant l’aspect masculin et viril du visage. Le risque étant la féminisation du profil. Il s’agit d’un simple embellissement. Améliorer l’apparence, oui, mais radicaliser un changement, non.
La blépharoplastie (lifting des paupières) est désormais une indication très pratiquée dès 40-45 ans. Les hommes ne s’en cachent pas. Elle consiste à rectifier la “casquette cutanée” de la paupière supérieure qui retombe sur l’œil et (ou) à corriger les poches de graisse de la paupière inférieure. L’injection d’acide hyaluronique permet de traiter les cernes si la peau n’est pas trop relâchée. Le lifting de l’ovale et du cou est une intervention courante pour traiter le relâchement cutané mais, à l’image des femmes, les hommes ne l’avouent pas, d’où l’importance d’un résultat naturel. Une liposuccion qui allège le bas du visage y est souvent associée. Les cicatrices sont cachées dans l’implantation de la barbe. Les hommes qui ont recours à une intervention de chirurgie esthétique ne veulent pas que cela se voie, ni que cela se sache.
La liposuccion est une intervention fréquente chez l’homme, elle est même le grand classique de la chirurgie de la silhouette masculine. Elle permet d’ôter quatre à cinq litres de graisse au niveau du pourtour abdominal et du buste. Le résultat est spectaculaire sur toute la ligne. L’acte est toujours associé à un régime car l’intervention seule ne peut en aucun cas se substituer à une cure d’amaigrissement. En revanche, elle est souvent un déclic à la volonté de maigrir plus.
Le développement anormal de la poitrine est très gênant pour certains hommes. Si le développement des glandes mammaires est dû à un dérèglement hormonal, elle doit être traitée avant d'effectuer un geste chirurgical.
Accros à leurs cheveux, les hommes se passionnent pour ce traitement « anti-âge » de mésothérapie adapté à l’alopécie. Mais il est n’est efficace que s’il existe encore des follicules pileux fonctionnels. Le protocole (qui nécessite plusieurs séances) améliore la circulation sanguine et relance les échanges cellulaires. Ce qui améliore la pousse capillaire et augmente la densité des cheveux au niveau des zones traitées. L’effet est à la fois préventif et curatif.