LIFESTYLE
Nous avons donc connu deux châtiments. Le premier, invisible et vicieux, nous a été administré par l’intermédiaire d’un pangolin. Le second, plus pervers encore, par nos écrans. Et dans ce cas précis, aucun geste barrière, aucune distance de sécurité, aucun coude n’a pu nous sauver la mise. Son nom : la saturation audiovisuelle.